Kerkini - Rila (BG) 160km

Pelicanus crispus
Pelicanus crispus
Morgens beobachten wir die artenreiche Vogelwelt des Sees (Pelikankolonien, Flussseeschwalben, Rallenreiher, Zwergscharben ...) , freunden uns mit lokalen Radfahrern an (er bekommt ein Bild von Cosima) und packen dann langsam zusammen. 
Le lendemain matin, on observe les nombreuses espèces d'oiseaux dont une colonie de Pelicans (oui oui, moi non plus je savais pas qu'il y en avait en Europe!), on essaie de discuter et de se comprendre (sans y arriver) avec un papi sans dents qui s'est arrêté nous regarder.
Dann retten wir noch schnell eine Schildkröte. Es geht nach kurzer Zeit vorbei an bekannter Strecke aus einer Radtour 2004 mit Konrad, über die Grenze nach Bulgarien, wo alles etwas im Umbau ist. Überhaupt sind die Straßen merklich breiter und besser geworden. Wo würde man jetzt noch mit dem Rad einigermaßen in Ruhe fahren können? Trotzdem überholen wir auf der Schnellstraße zwei Radreisende, die sich das Gesicht mit Tüchern bedeckt haben. Die Armut in Bulgarien ist gleich sichtbar, viele Hausruinen, Pferdefuhrwerke, alte Autos und etwas misstrauische Blicke. Ein kurzer Stopp zum Mittagessen fällt auf die kleine pittoreske Stadt Melnik, für die wir einen Umweg machen. 

Puis sauvetage de tortue en déroute, sur la route. 
On est qu'à quelques km de la frontière et pour Basti, les paysages deviennent un peu familiers, il avait fait un tour à vélo avec Conrad, un copain, de Vienne à Athènes et était passé par là. Dix ans plus tard, les routes semblent meilleures...
Une fois passée la douane (et un très méchant :"no photos!!" par un douanier grec, parce que j'avais l'appareil sur les genoux... J'ai pas envie de te prendre en photo, gros lard!"), on entre en Bulgarie. La pauvreté saute aux yeux: maisons de fortune, en ruines ou pas terminées, quelques tsiganes se déplaçant à cheval avec une vielle cariole ("en carrosse" selon Cosima), routes pas excellentes et des poches plastiques partout dans les champs et sur les rives de cours d'eau. On passe a Melnik, petite ville célèbre pour son vin. Bof! (La ville, parce que le vin on a pas gouté!).
Die Abzweigung zum Kloster bei Rila erreichen wir, wie schon 2004, erst am Abend. Die 30km hinauf (etwa 600Hm) sind dann mit dem Bus aber doch schneller geschafft und wir müssen nicht klingeln, um noch einen Blick ins Innere zu erhaschen. Geschlafen wird trotzdem diesmal davor, im Eigenheim, von Hunden bewacht...
On dort devant le monastère de Rila, plus important lieu sacré des orthodoxes bulgares, perché à 600m d'altitude, entre deux falaises. Le site est assez impressionnant, l'église au milieu est recouverte, dehors et dedans, de fresques du 19ème siècle (les plus anciennes ont été détruites), tout autour plusieurs étages avec galerie extérieure, avec chambres pour les pèlerins.

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